Viollet-le-Duc, Inspecteur général des édifices diocésains de 1858 à 1874 était d’abord partisan de restaurations minimales et rigoureuses, puis il a mis en œuvre des théories très éloignées de ses premiers principes et proposait de : « rétablir (le monument) dans un état complet qui peut n’avoir jamais existé à un moment donné ». Les restaurations deviennent radicales, on recompose les façades, on construit les flèches inachevées, on reconstruit les châteaux en ruines ...