- Accueil
- L'enfance
- Arbre généalogique de Stendhal
- « Cette haine de mon père pour moi et de moi pour lui » (Vie de Henry Brulard)
- Au cœur de Grenoble, un refuge
- Grenoble à la fin du XVIIIe siècle
- L'évasion par les livres
- Les femmes
- « Je voulais couvrir ma mère de baisers et qu'il n'y eût pas de vêtements. » (Vie de Henry Brulard)
- « Il est vrai que je n’ai jamais dit un mot des femmes que j’aimais. » (Vie de Henry Brulard)
- « Rien ne pouvait être commun ou plat dès qu'elle paraissait. » (Vie de Henry Brulard)
- Les arts
- « Qui giace Errico Beyle, milanese, visse, scrisse, amò, quest'anima adorava Cimarosa, Mozart e Shakespeare. » (Souvenirs d'égotisme).
- Da Vinci love
- Stendhal « excitateur d'idées » (Sainte-Beuve)
- La politique
- « L'amour pour lui est la seule passion qui me soit restée » (Mémoires sur Napoléon)
- Le fort de Bard en vallée d'Aoste
- « Nous sortîmes de la ville, éclairée par le plus bel incendie du monde » (Journal, 4 octobre 1812)
- « La Haine des tyrans a été ma plus forte passion après l'amour et la gloire. » (Journal)
- « Ses cinq romans sont des romans politiques. » (Aragon)
- Les voyages
- « Vivre en Italie […] devint la base de tous mes raisonnements » (Vie de Henry Brulard)
- « Mais quoi, me suis-je dit, quitterai-je l'Europe, peut-être pour toujours, sans connaître la France ? » (Mémoires d'un touriste)
- Au pays de Shakespeare