La collaboration avec les librettistes peut s’avérer orageuse : Leconte de Lisle doute de l’intérêt de mettre son œuvre en musique : « Croyez-vous que cette musique sera bien utile à mon drame, et qu’elle ne va pas empêcher d’entendre les vers ? » puis qualifie d’insupportable la musique composée par Massenet pour ses « Erinnyes » (1873).