|
Jules Janin |
|||||
en son temps |
||||||
|
Biographie |
|
|
|||
|
1804 naissance de Jules Janin dans la maison située au n°22 bis de l’ancienne rue sainte Ursule, aujourd’hui place du Peuple. Son père est avocat, sa mère est une ancienne religieuse décloîtrée par la Révolution. Sa sœur aînée, Camille, est née en 1800, son frère, Noël-Sébastien naît en 1805 | |||||
1812 débute ses études au collège de Saint-Etienne | ||||||
1817 entre au collège royal de Lyon (Lycée Ampère de nos jours) comme boursier | ||||||
1820 entre au Lycée Louis-le-Grand à Paris | ||||||
1827 débute comme rédacteur au Figaro | ||||||
1828 devient rédacteur politique à La Quotidienne puis entre au Messager des Chambres | ||||||
|
1829 Entre au Journal des Débats, où il est d’abord chargé de la politique, il écrit des Variétés avant de reprendre la critique dramatique | |||||
1831 parution de Barnave, qui attaque la maison d’Orléans | ||||||
1833 feuilletoniste, son influence grandit dans le monde dramatique. Il vit luxueusement, avec la marquise de la Carte, dans un hôtel particulier |
||||||
|
1838 se sépare de la marquise de la Carte et part en compagnie du prince Demidoff. De retour à Paris, il remarque le talent de la comédienne Rachel, passée comme lui par Saint-Etienne |
|||||
1841 épouse Adèle Huet, fille du maire d'Evreux. | ||||||
1842 à Passy, il achète une maison surnommée « L’Hôtel de la folie » | ||||||
1844 procès en diffamation contre Félix Pyat | ||||||
1845 parution de « Louis-Philippe » | ||||||
|
1846 écrit le livret de la Cantate des chemins de fer, pour l’inauguration des Chemins de fer du Nord à Lille, dont Berlioz compose la musique |
|||||
1847 procès en diffamation contre le directeur gérant du Corsaire-Satan | ||||||
1850 procès en diffamation contre Eugène de Mirecourt | ||||||
1853/58 rassemble ses feuilletons du Journal des débats dans son Histoire de la littérature dramatique |
||||||
1854 procès en diffamation contre Le Figaro | ||||||
|
1857 s’installe dans un chalet à Passy. Souffrant de la goutte, obèse, il y demeure jusqu’à sa mort |
|||||
1860 traduction des Œuvres d’Horace | ||||||
1866 rédacteur en chef de la Presse illustrée | ||||||
1870 élu à l’Académie Française, au fauteuil de Sainte-Beuve | ||||||
1873 signe son dernier feuilleton le 28 juillet 1873 | ||||||
|
1874 meurt à Passy le 19 juin. Son dernier roman, La Dame à l'oeillet rouge, est publié au profit des pauvres |
|||||
|
||||||
|