Janin ne relève
d'aucune école. Il est dans la mouvance romantique, Jeune
France, participe à la bataille d'Hernani
avec Hugo et connaît le succès ave L'Âne mort.
Plus âgé, devenu conservateur et conformiste, il estime
"que
l'on aurait jamais dû ôter à nos poètes la muselière classique"
et sacrifie au badinage mondain : mots enfilés comme des
verroteries et agités par une main perfide (Balzac).
|